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Non. Comme leurs noms l’indiquent, les 5 capteurs servent uniquement à capter l’électricité produite par les ondes cérébrales à partir du cuir chevelu. L’électricité capter étant assez faible à travers le cuir chevelu, nous utilisons une pâte conductrice qui sert à amplifier le signale perçu et à maintenir en place les capteurs posés sur la tête. La pâte se retire très facilement avec de l’eau.

Chaque cerveau est différent et les changements attendus ou leurs ordres d’arrivés le seront également d’une personne et d’une session à une autre. Ceci dit, même si l’on ne peut prévoir les changements, la majorité des personnes ressentent un apaisement et une détente, dès les premières sessions.

Chaque session est unique et chaque cerveau l’est également c’est pour cela qu’il vaut mieux ne s’attendre à rien et être attentif à soit avec douceur et curiosité. Cependant, sur le plan physique vous pouvez ressentir ; une détente des muscles, des picotements ou fourmillements dans des parties du corps qui se « réveillent », une sensation de chaleurs ou fourmillements dans la tête. Vous pouvez également ressentir une sensation de calme, d’apaisement et de recul face aux problèmes.

Lorsque le son s’interrompt durant la session, c’est pour informer le cerveau d’un changement brutal dans l’émission des ondes électriques émises par le système nerveux central. Cela est appelé feedback (=retour d’information) et c’est ce qui permet d’activer les fonctions de réorganisation et régulation du cerveau. En somme cela prouve que votre cerveau est en pleine gymnastique.

 Oui vous pouvez. Il est possible de réaliser des activités calmes durant une session avec NeurOptimal®, comme par exemple, lire, dessiner, « scroller* », discuter ou jouer. La seule condition c’est que l’activité soit calme. Ceci dit, pour une meilleure détente je trouve personnellement que se laisser porter en méditation par la musique est des plus agréable.

* ANGLICISME Faire défiler un contenu sur un écran informatique.

Oui absolument. Il arrive d’être tellement détendu par la session que le client s’endorme. Cela n’a aucune incidence sur le travail fait par votre cerveau.

Oui, sans crainte. Les enfants ont un cerveau plus jeune et donc plus facilement malléable qu’une personne plus âgée.

Oui c’est possible, il y a d’ailleurs de bons résultats sur les chiens qui ont subis de mauvais traitements ou sur les chevaux.

Le Neurofeedback Dynamique n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Cependant, persuadée du bien fondé de certaines thérapeutiques holistiques, certaines mutuelles peuvent rembourser en partie ou totalement les prestations de Neurofeedback Dynamique dans le cadre des forfaits « Médecines douces » ou « Méthodes douces », renseignez-vous auprès de votre mutuelle.

Oui. Même un cerveau âgé ou lésé dès la naissance ou plus tard par un AVC peut apprendre et utiliser les capacités de plasticité réparatrices pour tenter de retrouver des facultés perdues.

Personne ne peut prévoir combien de sessions vous seront nécessaire. C’est avant tout un ressenti/besoin personnel. Néanmoins, il faut environ 5 sessions pour ressentir des effets satisfaisants et 5 de plus pour consolider les nouveaux chemins synaptiques, soit 10 sessions pour pérenniser les efforts fournis par votre cerveau. Je conseil toujours de commencer les sessions à intervalles rapprochés dans un premier temps pour ressentir des améliorations plus rapidement soit entre 1 à 2 sessions par semaines. Mais là encore je m'adapte à vos besoins. Il faut aussi être conscient que tout dépend de la problématique de départ, un handicap lourd nécessitera plus de sessions qu'un léger coup de fatigue. 

C’est à votre médecin prescripteur qu’il faut poser la question. Bien que les améliorations apportées par NeurOptimal® puisse aboutir à la fin d’un traitement, ce sera uniquement après examens et avis du médecin, et en aucun cas suite à une initiative personnelle.

Le Neurofeedback Dynamique agit sur un ensemble. Le cerveau contrôle le corps et cela va forcément avoir un impact sur le système endocrinien (=hormones), le système cardiaque (ex : réguler le rythme), système neuronale, le système immunitaire ect. Le Neurofeedback va donc agir sur des problèmes cognitifs, émotionnels, physiques.

Liste non exhaustive : Migaines, stress, insomnies, dépression, émotivité, troubles de l’apprentissage, angoisses, phobies, DYS, hypersensibilité aux bruits, addictions, allergies, boulimie, Parkinson, troubles de l’attention, autisme, problèmes de mémoires, bouffées de chaleurs, herpès, acouphènes, épilepsie, manque de confiance en soi, fibromyalgie, hyperactivité, manque d’inspiration artistique …

Idéalement, chaque séance de neurofeedback doit être suivie d'une bonne nuit de sommeil afin de consolider l'apprentissage, et un ou deux jours entre chaque séance laissent le temps au cerveau de bien réorganiser son fonctionnement. Il faut aussi parfois plus de séances lorsque l'utilisateur est plus âgé ou lorsque les problèmes que l'on souhaite régler sont chroniques et présents depuis de nombreuses années. En cas de handicap mental, l'apprentissage peut parfois se faire plus lentement et nécessiter une centaine d'heures de séance. Il est alors préférable pour la famille d'acquérir ou de louer l'équipement de neurofeedback.

Il n’y en a aucune. Le système NeurOptimal® est sans danger, il est non invasif et indolore. Il est possible d’en faire à tout âge de la vie et à tout moment (ex : durant une grossesse). Il n’y a pas de pathologies qui empêche également la réalisation de sessions.

Certaines contraintes externes fortes (=cause organique, certains médicaments, drogues ou régime alimentaire déficient) peuvent nuire à un résultat satisfaisant, bien que les sessions détournent de l’envie de consommer certaines substances nocives. D'autre part, l'influence des séances peut être annulée par un comportement quotidien allant à l'encontre de l'effet recherché (ex : regarder la télévision pendant des heures ou se gaver de sucre pour un enfant atteint du trouble du déficit de l'attention, fumer du cannabis ou s'alcooliser avant la séance, etc.). Il faut donc essayer de repérer ce type de comportement qui entretient le problème.